dimanche 18 mars 2007

L’alimentation peut agir sur les facteurs conduisant à la destruction des neurones au travers une cascade de réactions biomoléculaires qui oriente vers l’affection neurodégénérative ou non. Son action peut même se porter sur les prédispositions génétiques appelées plus communément « terrain ». Les nombreuses études actuelles menées à travers le monde montrent que ce type de maladies résultent, hormis la part attribuable au vieillissement, le plus souvent d’erreurs alimentaires auxquelles s’ajoute un mode de vie non adapté aux contraintes environnementales.


L'alimentation fonctionnelle peut-elle être d'un quelconque secours dans le cadre des affections neurodégénératives? La réponse est indiscutablement : OUI!


Il faut savoir qu'une alimentation fonctionnelle consiste à faire un choix judicieux d'aliments et de compléments alimentaires agissant sur certaines fonctions biologiques et conduisant à la neutralisation des facteurs à l'origine d'une maladie (voir www.foncalim.blogspot.com).

Une alimentation fonctionnelle bien construite doit conduire au ralentissement de l'évolution de la maladie et dans certains cas à sa REGRESSION!

Application de l'alimentation fonctionnelle: la maladie d'ALZHEIMER

ADAS-cog signifie en anglais: Alzheimer’s Disease Assessment Scale – cognitive subscale, est un test qui permet d’évaluer les fonctions cognitives d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer. Au cours de ce test, les fonctions cognitives telles que l’attention, la mémoire, l’orientation, le langage, mais aussi l’activité gestuelle et le raisonnement, sont analysées. Le score ADAS-cog varie entre 0 et 70. Plus il y a d’erreurs, plus le score est élevé.
Jusqu'à un score de 30, on est en présence d'une atteinte légère par la maladie d'Alzheimer. Au delà l'atteinte est modérée et après 50, elle devient sévère.

A titre indicatif un individu sain affiche un score compris entre 5 et 10 tandis qu’un score de 70 révèle une démence, stade finale de la maladie d'Alzheimer.


La figure ci-dessus montre en recourant au test ADAS-cog que l’utilisation d’extraits de mélisse permet de réduire de façon très significative les atteintes liées à la maladie d’Alzheimer.
Alors que le groupe témoin est passé au stade "modéré" de la maladie, le groupe traité à la mélisse est toujours au stade léger avec même une diminution significative du score au test ADAS-cog, et ce après seulement 16 semaines!





En fait la mélisse renferme des substances capables d'inhiber réversiblement un enzyme à l'origine de la destruction de l'acétylcholine qui est le neurotransmetteur intervenant dans le processus de mémorisation.


L’association d'autres substances alimentaires "fonctionnelles" (voir livre "Alzheimer Parkinson : le rôle essentiel de l'alimentation dans la prévention des maladies neurodégénératives" ; aux éditions Grancher) à la mélisse permet d’améliorer encore les résultats positifs obtenus sur la maladie. En effet la suppression des autres facteurs à l'origine de la maladie permet d'agir sur le "terrain" de la maladie, ce qui a pour effet de renforcer très nettement l'amélioration des fonctions cognitives.

A noter que ce qui est vrai pour la maladie d'Alzheimer, l'est également pour la maladie de Parkinson ou la sclérose latérale amyotrophique.

LES MALADIES NEURODEGENERATIVES - GENERALITES

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CONSEIL ET STAGE D'APPLICATION DE L' ALIMENTATION FONCTIONNELLE A LA MALADIE D'ALZHEIMER

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ALIMENTATION FONCTIONNELLE ET DOULEURS ARTICULAIRES

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